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31 mai 2019 5 31 /05 /mai /2019 09:00

Le régime cétogène

 

. Les controverses biochimiques du régime cétogène

Principal nutriment produit par notre organisme en réponse à un régime cétogène, pauvre en glucides, le bêta-hydroxybutyrate ne présenterait pas tous les atouts que les scientifiques lui ont attribué jusque-là... Luciano Pirola*, en collaboration avec le groupe de recherche d’Aneta Balcerczyk**, vient en effet de montrer que cette substance ne présente pas d’activité anti-inflammatoire et que son rôle sur la transcription (étape de l'expression génétique au cours de laquelle un ARN est produit à partir d’ADN) reste à clarifier.

 

Dans un contexte d’un intérêt croissant pour le régime cétogène, les scientifiques s’intéressent de plus en plus au bêta-hydroxybutyrate. Ce régime consiste à éliminer presque tous les glucides de son alimentation, notamment les féculents, et à privilégier les aliments gras et les protéines. Les cellules qui se nourrissent normalement de glucose ne peuvent plus faire face à leurs besoins et se mettent alors à utiliser une voie annexe pour produire de l’énergie, passant par la dégradation d'acides gras.

Cette voie est bien décrite : elle produit des dérivés d’acides gras nommés "corps cétoniques", et principalement du bêta-hydroxybutyrate. Or, des travaux ont suggéré que le bêta-hydroxybutyrate pourrait présenter des bénéfices pour la santé à des doses physiologiques, avec notamment une activité anti-inflammatoire. Restait à le vérifier…

Luciano Pirola et son équipe travaillaient déjà sur le butyrate, une molécule produite par les bactéries intestinales qui ne diffère du bêta-hydroxybutyrate que par un atome d’oxygène. "Cette proximité chimique entre les deux molécules suggérait des activités identiques", explique Luciano Pirola. Le butyrate présente un bénéfice sur le métabolisme et le contrôle du poids. Cette activité passe par des mécanismes épigénétiques : le butyrate inhibe une enzyme appelée histone (protéine qui s’associe à l’ADN pour le compacter et former la chromatine) déacétylase, favorisant ainsi le maintien des molécules d’acétate sur les histones, et facilitant l’expansion de la chromatine (association d'ADN et de protéines) et la transcription de gènes bénéfiques. "Nous avons décidé de vérifier si le bêta-hydroxybutyrate possédait bien une activité anti-inflammatoire et si cette molécule contribuait à l’inhibition des histones déacétylases comme le butyrate". 

Les expériences que les chercheurs ont conduites contredisent les deux points. Ils n’ont pas trouvé d’effet anti-inflammatoire évident sur des lignées de cellules humaines testées (des cellules endothéliales (cellules qui tapissent la face interne des vaisseaux sanguins) i.e. qui tapissent la paroi intérieure des vaisseaux sanguins et sont très réactives aux phénomènes d’inflammation) : au contraire, l’effet observé est légèrement pro-inflammatoire. En outre, que ce soit dans des cellules endothéliales, rénales ou musculaires, le bêta-hydroxybutyrate n’inhibe pas les histone déacétylases : il provoque une autre modification épigénétique récemment découverte, la β-hydroxybutyrylation des histones. Les effets de ce type de modification sont inconnus à ce jour.

"Ces travaux sont un point de départ : nous devons aller plus loin car nous prévoyons une augmentation du recours au régime cétogène dans les années à venir. Ce régime est déjà indiqué dans des situations particulières, par exemple pour des personnes épileptiques chez lesquelles il permet de réduire la fréquence des crises sans que l’on comprenne de façon approfondie le mécanisme mis en jeu. Il commence également à être suggéré dans d’autres maladies comme le cancer ou même le diabète. Nous devons mieux comprendre le lien biologique entre la production de bêta-hydroxybutyrate et les réponses biochimiques et métaboliques de l’organisme afin d’évaluer l’effet et l’efficacité de ce régime sur la santé pour la population générale", conclut Luciano Pirola.

 

Notes

*unité 1060 Inserm/Université Claude Bernard Lyon 1/Insa, unité 1397 Inra, Laboratoire CarMeN, équipe Adaptations nutritionnelles, environnement et diabète, Lyon

**Université de Lodz, Pologne

 

Lien de l'article : https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/controverses-biochimiques-regime-cetogene

 

 

. Les effets du régime cétogène dans le traitement des maladies dégénératives

WLODAREK, D. Role of ketogenic diets in neurodegenerative diseases (Alzheimer’s disease and Parkinson’s disease). Nutrients, 2019, 11, 169 (doi: 10.3390/nu11010169).

 

Si le suivi d’un régime cétogène peut améliorer les fonctions cognitives des personnes atteintes de maladies dégénératives, il peut également avoir des conséquences délétères sur leur appétit et leurs apports nutritionnels.

Le régime cétogène est un régime thérapeutique datant du début du XXe siècle et utilisé, avec une efficacité reconnue, pour le traitement des épilepsies pharmacorésistantes de l’enfant. Il repose sur une réduction très importante de l’apport en glucides (moins de 8 % de l’apport énergétique totale (AET)) et une consommation élevée de lipides (entre 70 et 90 % de l’AET), induisant ainsi une production endogène de corps cétoniques. Son utilisation est aujourd’hui élargie à d’autres pathologies, en particulier les maladies dégénératives. Une revue de littérature fait le point sur les effets du régime cétogène dans le cas des traitements des maladies d’Alzheimer et de Parkinson.

Les travaux de recherche effectués chez l’humain sont très peu nombreux et de courte durée. Ils montrent des résultats encourageants quant à l’efficacité du régime cétogène sur les fonctions cognitives (en particulier la mémoire) des personnes âgées atteintes de, ou à risque élevé de contracter, la maladie d’Alzheimer. Les rares études réalisées chez des personnes atteintes de la maladie de Parkinson montrent une diminution des troubles moteurs et non moteurs de la maladie.

Les effets neuroprotecteurs du régime cétogène seraient liés à la production accrue de corps cétoniques et à la diminution du flux glycolytique (au profit de la voie de la β-oxydation des acides gras), permettant en particulier une action antioxydante améliorée.

Malgré les possibles bénéfices liés au régime cétogène dans le traitement des maladies dégénératives, il semble compliqué pour les personnes atteintes de suivre cette diète contraignante sur une longue période. Par ailleurs, son suivi a pour conséquence une perte d’appétit liée à la fois à des changements physiologiques et aux caractéristiques organoleptiques des repas consommés. Ces effets anorectiques peuvent être graves chez les personnes atteintes de maladies dégénératives, car elles présentent souvent un risque élevé de dénutrition.

En conclusion, cette revue de littérature met en évidence de possibles effets bénéfiques du régime cétogène sur les symptômes des maladies d’Alzheimer et de Parkinson. L’adoption de ce régime à long terme par les personnes atteintes semble cependant problématique en raison de potentielles conséquences délétères sur l’appétit de ces personnes, à risque élevé de dénutrition.

 

Lien de l'article : https://www.cerin.org/etudes/les-effets-du-regime-cetogene-dans-le-traitement-des-maladies-degeneratives/

Les actualités scientifiques en nutrition

Le poisson

 

 

. Manger du poisson : pourquoi ? comment ? Recommandations de l’Agence pour la consommation de poissonsLe poisson possède des qualités nutritionnelles précieuses qui en font un invité de choix des menus de toute la famille. Voici un résumé des éléments qu’il apporte, ainsi que les recommandations de l’Agence en terme de consommation afin de profiter au mieux de ses bienfaits nutritionnels. Lire la suite.

 

. Infographie - Manger du poisson !

Le poisson possède des qualités nutritionnelles précieuses qui en font un invité de choix des menus de toute la famille. Découvrez pourquoi, ainsi que les bons gestes pour le conserver et le préparer. Lire la suite.

Les actualités scientifiques en nutrition

Les additifs et compléments alimentaires

 

. Les compléments alimentaires

Les compléments alimentaires, concentrés de nutriments ou d’autres substances, sont de plus en plus consommés en France. A visée amincissante, anti-stress, revitalisante ou destinés aux sportifs, ces produits sont souvent perçus comme anodins mais peuvent, dans certains cas, exposer le consommateur à des risques sanitaires. Que fait l’Anses sur le sujet et quelles sont les recommandations de l’Agence ? Lire la suite.

 

. Additif alimentaire E171 : l’Anses réitère ses recommandations pour la sécurité des consommateurs

L’additif alimentaire E171, constitué de particules de dioxyde de titane (TiO2) notamment sous forme nanoparticulaire, est utilisé dans de nombreux produits alimentaires. Suite à ses travaux d’expertise conduits en 2017, l’Anses a été saisie en février 2019 pour faire le point des études les plus récentes sur la toxicologie par voie orale du E171 et actualiser ses recommandations. A l’issue de cette expertise, l’Agence conclut qu’elle ne dispose pas d’éléments nouveaux permettant de lever les incertitudes sur l’innocuité de l’additif E171. Dans l’attente d’une meilleure caractérisation du danger et des risques du E171, elle réitère ses recommandations générales sur les nanomatériaux visant notamment à limiter l’exposition des travailleurs, des consommateurs et de l’environnement, en favorisant des alternatives sûres et équivalentes en termes d’efficacité. Lire la suite.

Les actualités scientifiques en nutrition

Votre santé

 

. Gluten et diabète de type 2, quel risque ?

ZONG, G. LEBWOHL, B. HU, FB. « et col. » Gluten intake and risk of type 2 diabetes in three large prospective cohort studies of US men and women. Diabetologia, 2018, 61, 10, p. 2164-2173 (doi: 10.1007/s00125-018-4697-9).

 

Le risque de survenue du diabète de type 2 est plus bas chez les adultes ayant une consommation de gluten plus élevée.

Une étude américaine a examiné les liens entre la consommation de gluten et le risque à long terme de diabète de type 2. La consommation de gluten, ainsi que la survenue du diabète de type 2 ont été enregistrées pendant des périodes allant de 20 à 28 ans, chez plus de 200 000 adultes issus de trois cohortes distinctes.

Pour la plupart des personnes incluses, les résultats montrent des consommations de gluten comprises entre 2 et 12 g par jour et relativement stables durant la période de suivi. Cette consommation de gluten est fortement corrélée à celles de céréales raffinées, de féculents et de fibres de céréales.

Pendant l’ensemble des 4,24 millions de personnes-années de suivi, le diagnostic du diabète de type 2 a été posé chez près de 16 000 participants. Comparativement aux personnes ayant la consommation de gluten la plus basse (1er quintile), celles se situant dans les autres quintiles présentent un risque diminué de survenue du diabète de type 2, indépendamment des autres facteurs confondants : baisse du risque de 9 % dans le 2e quintile, de 12 % dans le 3e, de 17 % dans le 4e et de 13 % dans le 5e quintile correspondant à la consommation de gluten la plus élevée. L’analyse dose-effet met en évidence une relation linéaire entre l’ingestion de gluten jusqu’à 12 g/jour et la diminution du risque de diabète de type 2.

Au regard de ces résultats, les auteurs concluent que la consommation de gluten ne semble pas contribuer à l’augmentation du risque de diabète de type 2. Par ailleurs, chez les personnes non atteintes de la maladie cœliaque ou non sensibles au gluten, limiter la consommation de gluten ne semble pas être une stratégie adéquate pour prévenir l’apparition du diabète de type 2.

 

Lien de l'article : https://www.cerin.org/etudes/gluten-et-diabete-de-type-2-quel-risque/

 

. Les bienfaits de l’eau sur la santé humaine

LISKA, D. MAH, E. BRISBOIS, T. « et col. » Narrative review of hydration and selected health outcomes in the general population. Nutrients, 2019, 11, 70 (doi: 10.3390/nu11010070).

 

Une bonne hydratation a des effets bénéfiques sur les fonctions cognitives et rénales, ainsi que sur le poids et la composition corporelle. Les effets sur la fonction gastro-intestinale et la santé de la peau sont encore mal compris.

L’eau est essentielle à la vie et est impliquée dans l’ensemble des fonctions de l’organisme. Une revue de littérature présente l’état des connaissances scientifiques sur les liens existant entre l’hydratation et la santé dans la population générale. Les effets de l’hydratation sur les fonctions neurologiques, rénales et gastro-intestinales, ainsi que sur le poids, la composition corporelle et la santé de la peau ont en particulier été examinés.

Les données concernant les fonctions neurologiques mettent en évidence qu’une déshydratation supérieure à 2 % du poids corporel chez l’adulte a des effets délétères sur les performances cognitives, en particulier pour les tâches impliquant l’attention, les fonctions exécutives et la coordination motrice. Un déficit d’eau chez l’adulte est également associé à une fatigue accrue ainsi qu’à l’augmentation des émotions négatives telles que la colère, la confusion ou la dépression. L’état actuel des connaissances ne permet pas de déterminer si les maux de tête sont affectés par le niveau d’hydratation.

La fonction rénale semble aussi influencée par la quantité d’eau ingérée. En effet, même si des études complémentaires sont nécessaires, il a été montré qu’une ingestion élevée de fluides est significativement associée à une diminution du risque d’apparition de calculs rénaux.

Par ailleurs, les données existantes suggèrent qu’une augmentation de la consommation d’eau contribue, chez l’adulte en situation d’obésité, à diminuer le poids corporel et à réduire la masse grasse.

Enfin, concernant la fonction gastro-intestinale et la santé de la peau, les auteurs mettent en avant que les données sont rares et parfois contradictoires. Par exemple, l’efficacité de l’hydratation dans le traitement de la constipation fonctionnelle n’est pour l’instant pas avérée et les effets potentiels d’une consommation additionnelle d’eau sur la fonction barrière de la peau sont mal compris.

En conclusion, s’il ne fait aucun doute qu’une hydratation suffisante est primordiale pour le maintien d’une bonne santé, les effets spécifiques du statut hydrique sur chacune des fonctions de l’organisme sont peu étudiés. Les bénéfices d’une bonne hydratation sur les fonctions cognitives, rénales et sur le poids corporel sont les mieux compris, même si les auteurs appellent à de nouvelles recherches, en particulier pour mieux appréhender les différences interindividuelles liées par exemple au sexe ou à l’âge.

 

Lien de l'article : https://www.cerin.org/etudes/bienfaits-eaun-sante-hydratation/

Les actualités scientifiques en nutrition

Votre alimentation

 

. Efficacité d’une application sur les choix alimentaires

PALACIOS, C. TORRES, M. LOPEZ, D. « et col. » Effectiveness of the nutritional App “MyNutriCart” on food choices related to purchase and dietary behavior: a pilot randomized controlled trial. Nutrients, 2018, 10, 1967 (doi: 10.3390/nu10121967).

 

L’utilisation d’une application pour smartphone pendant huit semaines a permis d’améliorer quelques comportements d’achats et de consommations alimentaires chez des adultes en surpoids, sans effet sur le poids corporel.

Une équipe de recherche américaine a évalué l’efficacité d’une application pour smartphone (MyNutriCart) génératrice de listes de courses alimentaires visant à améliorer la santé, sur les achats et les consommations alimentaires, ainsi que le poids corporel. Cinquante-et-un adultes (dont plus de 88 % de femmes) en surpoids ou obèses (IMC moyen au début de l’étude = 34,5 kg/m²), chargés des achats alimentaires de leur foyer, ont été inclus dans cet essai contrôlé randomisé de 8 semaines. Vingt-sept ont utilisé l’application pendant cette période (groupe Appli) alors que les 24 autres (groupe Contrôle) ont bénéficié, à la place, d’un entretien avec un(e) diététicien(ne) au début de l’étude.

Les résultats montrent que 73 % des personnes du groupe Appli ont utilisé l’application lors de toutes leurs courses alimentaires et que 26 % ont acheté plus de 70 % des produits recommandés. Pendant les 8 semaines de suivi, les participants du groupe Appli ont significativement augmenté leur fréquence d’achat, pour le foyer, de légumes et de céréales complètes, comparativement aux achats effectués avant le début de l’étude. Concernant les consommations individuelles des personnes incluses, les auteurs ont relevé dans le groupe Appli une baisse de la consommation de céréales raffinées, de sucreries et de produits de type « snack », de jus de fruits et de légumineuses, ainsi qu’une augmentation de la fréquence de consommation de fruits.

La comparaison des effets de l’intervention « Appli » et de l’intervention « Contrôle » sur les achats et les consommations ne montre aucune différence significative entre les groupes, suggérant que l’utilisation de l’application a une efficacité similaire à celle d’un entretien avec un(e) diététicien(ne).

Par ailleurs, aucun changement sur le poids corporel n’a été mis en évidence, que ce soit dans le groupe Appli ou dans le groupe Contrôle.

En conclusion, les auteurs mettent en avant l’intérêt d’une telle application pour améliorer les comportements alimentaires, en particulier chez les personnes qui ne font pas la démarche de consulter un professionnel pour améliorer leur alimentation. Ils suggèrent des études plus longues et plus intenses pour parvenir à observer de meilleurs résultats sur les consommations et des effets sur le poids corporel.

 

Lien de l'article : https://www.cerin.org/etudes/efficacite-dune-application-sur-les-choix-alimentaires/

 

 

. Dossier d’information INSERM :Nutrition et santé, La santé passe par l’assiette et l’activité physique

 

Les liens entre nutrition et santé sont de mieux en mieux connus, et le risque de développer de nombreuses maladies - cancer, maladies cardiovasculaires, obésité ou encore de diabète de type 2 - peut être réduit en suivant les recommandations nutritionnelles nationales. Fondées sur de multiples études scientifiques, ces recommandations évoluent avec l’acquisition de nouvelles connaissances. Toutefois, les français sont encore trop peu nombreux à se les être appropriées, en particulier parmi les moins favorisés. Des mesures permettant d’améliorer la qualité nutritionnelle et l’accessibilité (physique et économique) de l’offre alimentaire, ainsi qu’un environnement favorable à l’activité physique ont été recommandées par le Haut conseil de la Santé publique dans le cadre de la préparation du prochain programme national nutrition-santé. Lire la suite.

Les actualités scientifiques en nutrition

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